L'Envol du pingouinSaison 2021-2022
Il y a du Devos, du Fernand Raynaud ou du François Morel chez cet artiste breton. Difficile de ne pas être ému à la fin de ce one-man-show formidable.
LE FIGARO MAGAZINE
Cousin germain des Devos et Desproges, Jean-Jacques Vanier nous emmène dans les nuages grâce à « L’Envol du pingouin » mis en scène par l’ami François Rollin. D’une originalité débridée, ce spectacle est un bijou d’intelligence et de tendresse. Une épopée délirante !
LE PARISIEN
La reprise de « L’Envol du pingouin » constitue une des très bonnes nouvelles de cette fin d’année.
TELERAMA SORTIR
Jean-Jacques Vanier gagne notre empathie sans en rajouter.
Son autodérision à la Keaton fait du bien à notre santé mentale d’inadaptés chroniques.
LIBERATION
Dans L’Envol du pingouin, Jean-Jacques Vanier fait à la fois ce qu’on appelle
du grand public et, en même temps, un spectacle « intelligent, beau et philosophique ».
FRANCE SOIR
Il a le physique de Monsieur Tout-le-monde, mais c’est un extraterrestre. Ce spectacle coécrit et mis en scène par l’excellent François Rollin joue sur l’absurde et le loufoque. On en redemande.
LE POINT
On rit beaucoup tant le regard de l’artiste a su saisir ce qui nous touche.
Le nouveau spectacle de Vanier, L’Envol du pingouin, est parfaitement maîtrisé. LA CROIX
S’il existe un animal méritant d’entrer dans votre bestiaire humoristique,
c’est bien Jean-Jacques Vanier : poétique, lunatique et drolatique, mais avec beaucoup de petites cellules sous le capot. Il vous rendra la soirée énigmatique et belle.
A NOUS PARIS
de François Rollin
et Jean-Jacques Vanier
mise en scène François Rollin
production François Volard - Acte 2
le spectacle
Baudelaire comparait le poète à l’albatros, Vanier, lui, se retrouve plutôt dans le pingouin. Tout ici est polémique, mélancolique et irrésistible. Ses histoires d’amour virent à la catastrophe, ses séances chez le psy sont des échecs minables, il a peur du noir, de la foule, théorise sans fin sur l’absurdité du monde comme il ne va pas, compte les marches qui le séparent de son voisin du dessus, a de la com- passion pour les hamsters, se fait déniaiser par une Bretonne, ne retrouve pas ses chaussettes, écrit au Président de la République pour se plaindre d’une pâtisserie hostile, critiques les architecte. Eternel angoissé, il s’excuse d’être né dans un monde où le moindre cours de danse se transforme en enfer, en piste d’humiliation. C’est un voyage intérieur où se mêlent des cormorans mazoutés, des papillons butés n’ayant de cesse de se cogner contre une vitre.
Cousin germain des Devos et Desproges, Jean-Jacques Vanier nous emmène dans les nuages grâce à
« L’Envol du pingouin » mis en scène par l’ami François Rollin.
